Ethique et Déontologie

Poser le cadre : contrat tripartite ou bipartite clarifiant la demande, le contexte de l’intervention, la lettre de mission décrivant les objectifs, le contrat de séance, la supervision

Principe de confidentialité vis-à-vis des propos échangés entre le coach et le coaché, sauf dans le cas où le coaché se met en danger par ses actions ou si la loi oblige à divulguer certaines informations.

Confidentialité au niveau des références professionnelles : vérifier l’autorisation de l’organisation à la communication du nom de l’entreprise en tant que références dans ses plaquettes professionnelles

Indépendance du coach vis-à-vis de l’organisation qui prescrit le coaching et les perspectives de futurs contrats possibles avec ladite organisation, ou les pressions qu’elle pourrait tenter de vouloir exercer sur le coach vis-à-vis du coaché (garder son intégrité en restant à l’extérieur de toute influence commerciale que pourraient représenter des missions futures).

Être en apprentissage constant pour garantir un bon niveau de prestations

S’abstenir de coacher deux personnes dans le même service, l’un dépendant de l’autre… afin de garder son impartialité.

Refus d’une mission : Le coach est en droit de refuser une mission si elle ne lui semble pas conforme à son éthique, à ses compétences ou à l’intérêt de la personne ou de l’organisation. Il oriente alors le client vers d’autres solutions. Le coach exerce son métier en tout indépendance et neutralité.